17 November 2025
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Guide essentiel: Code de la route et obligations pour transporteurs

Écrit par
Geroge P.
L'essentiel à retenir
  1. L'exercice du transport routier requiert quatre conditions cumulatives (capacité professionnelle, capacité financière, honorabilité et établissement effectif) pour obtenir la licence auprès de la DREAL.
  2. Les conducteurs doivent être titulaires des permis appropriés (B, C, EC) et suivre des formations obligatoires (FIMO initiale, FCO continue) avec visites médicales régulières.
  3. Les véhicules doivent être conformes aux normes de sécurité et environnementales (respect des PTAC/PTRA, normes Euro VI, accès ZFE) et équipés de dispositifs obligatoires (tachygraphe, signalisation angles morts, ADAS).
  4. La sécurisation du chargement est une responsabilité partagée; le transport de marchandises dangereuses suit l’ADR avec formations, agréments et obligations d’étiquetage et de déclaration.
  5. Les temps de conduite et de repos sont strictement encadrés par la réglementation sociale européenne et contrôlés par le tachygraphe ; le non-respect entraîne amendes, immobilisation, perte d’honorabilité et sanctions pénales.
Sommaire
L'essentiel à retenir
  1. L'exercice du transport routier requiert quatre conditions cumulatives (capacité professionnelle, capacité financière, honorabilité et établissement effectif) pour obtenir la licence auprès de la DREAL.
  2. Les conducteurs doivent être titulaires des permis appropriés (B, C, EC) et suivre des formations obligatoires (FIMO initiale, FCO continue) avec visites médicales régulières.
  3. Les véhicules doivent être conformes aux normes de sécurité et environnementales (respect des PTAC/PTRA, normes Euro VI, accès ZFE) et équipés de dispositifs obligatoires (tachygraphe, signalisation angles morts, ADAS).
  4. La sécurisation du chargement est une responsabilité partagée; le transport de marchandises dangereuses suit l’ADR avec formations, agréments et obligations d’étiquetage et de déclaration.
  5. Les temps de conduite et de repos sont strictement encadrés par la réglementation sociale européenne et contrôlés par le tachygraphe ; le non-respect entraîne amendes, immobilisation, perte d’honorabilité et sanctions pénales.

Le respect du Code de la route n’est que la partie visible de l’iceberg. Pour un transporteur, il s’agit d’une maîtrise quotidienne d’un cumul de législations : Code du travail, Code des transports, et réglementations sociales européennes. Chaque aspect, du permis de conduire à l’arrimage d’une palette, est strictement encadré pour garantir la sécurité de tous. Ignorer ces obligations, c’est s’exposer à des sanctions sévères, mais surtout mettre en péril son activité, ses clients et les autres usagers de la route.

Les conditions d’accès à la profession de transporteur

Avant même de démarrer le moteur, l’exercice de l’activité de transporteur routier est soumis à des conditions strictes. Pour créer et diriger une entreprise de transport de marchandises, que ce soit avec des véhicules légers ou des poids lourds, il est impératif de satisfaire à quatre critères fondamentaux définis par le Code des transports. Ces exigences garantissent le sérieux, la compétence et la viabilité de l'entreprise.

Les 4 piliers de l’autorisation d’exercer

Pour obtenir la précieuse licence de transport, délivrée par la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), tout dirigeant doit prouver que son entreprise repose sur des bases solides.

  1. La capacité professionnelle : Elle atteste que le gestionnaire de transport possède les connaissances nécessaires pour diriger l'activité. Pour l'obtenir, plusieurs voies existent :
    • L'examen : Il est précédé d'une formation obligatoire de 105 heures pour le transport léger (moins de 3,5 tonnes). Pour le transport lourd (plus de 3,5 tonnes), il s'agit d'un examen national de 4 heures.
    • L'expérience : Une expérience de direction de 2 ans dans une entreprise de transport léger ou de 5 ans pour le transport lourd peut valider cette capacité.
    • Le diplôme : Certains diplômes comme le BTS Gestion des Transports ou le titre de Responsable d’Unité de Transport et Logistique (RUTL) offrent une équivalence directe.
  2. La capacité financière : Cette exigence assure que l'entreprise dispose des fonds nécessaires pour entretenir sa flotte et faire face à ses charges d'exploitation. Un capital minimum est requis, calculé selon le nombre et le type de véhicules :
    • Véhicules légers (< 3,5t) : 1 800 € pour le premier véhicule, puis 900 € pour chaque véhicule supplémentaire.
    • Véhicules lourds (> 3,5t) : 9 000 € pour le premier véhicule, puis 5 000 € pour chaque véhicule supplémentaire.
    Cette capacité est vérifiée annuellement via la liasse fiscale et une attestation de garantie.
  3. L'honorabilité professionnelle : Le dirigeant et le gestionnaire de transport ne doivent avoir fait l'objet d'aucune condamnation grave (inscrite au casier judiciaire) incompatible avec l'exercice de la profession. Des infractions répétées aux règles du transport peuvent entraîner la perte de cette honorabilité.
  4. L'établissement effectif : L'entreprise doit avoir un siège social et un centre d'exploitation en France, où sont conservés les principaux documents. Elle doit également être inscrite au registre national des entreprises de transport routier.

Une fois ces quatre conditions réunies, la demande de licence de transport peut être déposée auprès de la DREAL. Le processus dure en moyenne deux à trois mois et la licence est valable 10 ans.

Permis de conduire et formations obligatoires : le socle du chauffeur

Le respect du Code de la route est le cœur du métier de conducteur. Il ne s'agit pas seulement d'un examen à passer une fois, mais d'une application stricte et quotidienne des règles pour assurer la sécurité de tous. Pour les professionnels du transport, cette exigence est renforcée par des qualifications spécifiques.

Avant même d'envisager les permis poids lourds, tout commence par le permis B. Aujourd'hui, des plateformes comme PermiFast simplifient grandement cette première étape en mettant en relation les futurs conducteurs avec des centaines d'auto-écoles partenaires. Grâce à une application mobile, l'inscription est dématérialisée, les documents sont centralisés et la communication avec l'établissement est directe, accélérant ainsi l'obtention du précieux sésame. Cet outil moderne facilite l'accès à la première étape de ce qui peut devenir une carrière dans le transport.

Des permis spécifiques pour les poids lourds

La conduite d'un véhicule dont le Poids Total Autorisé en Charge (PTAC) dépasse 3,5 tonnes requiert un permis de conduire spécifique :

  • Le permis C pour les véhicules de transport de marchandises.
  • Le permis EC pour les véhicules articulés (avec remorque).

Ce permis atteste de l'aptitude du conducteur à maîtriser un véhicule lourd et est soumis à un renouvellement régulier via une visite médicale : tous les cinq ans pour les moins de 60 ans, puis tous les deux ans. L'employeur doit s'assurer de la validité du permis de ses conducteurs.

Conseil d'expert

L'entreprise a l'obligation de financer le renouvellement de la formation FCO de ses salariés. En revanche, les frais de la visite médicale pour le renouvellement du permis de conduire peuvent rester à la charge exclusive du conducteur. Il est important de clarifier ce point dans le contrat de travail.

La formation professionnelle continue : FIMO et FCO

Au-delà du permis, tout conducteur routier doit suivre une formation professionnelle obligatoire pour exercer dans le transport public de marchandises.

  • La FIMO (Formation Initiale Minimale Obligatoire) : D'une durée de 140 heures, elle est indispensable pour tout nouveau conducteur n'ayant pas de diplôme spécifique dans le transport.
  • La FCO (Formation Continue Obligatoire) : D'une durée de 35 heures, elle doit être renouvelée tous les cinq ans. Elle permet de mettre à jour les connaissances du conducteur sur la réglementation, la sécurité et les techniques de conduite rationnelle.

Ces formations rappellent le cadre légal, notamment les règles sociales européennes (temps de conduite et de repos), les obligations liées au chargement et la sécurité. L'attestation de FIMO ou de FCO est un document obligatoire à présenter lors d'un contrôle, au même titre que le permis de conduire.

Le véhicule : un outil sous haute surveillance

Le camion n'est pas un simple véhicule, c'est un outil de travail qui doit répondre à des normes de sécurité et environnementales de plus en plus strictes. La conformité du matériel roulant est une responsabilité majeure pour le transporteur.

Le Poids Total Autorisé en Charge (PTAC) est la notion clé. Il inclut le poids du véhicule, son équipement, le carburant et la marchandise. Le dépassement de ce poids, ou du Poids Total Roulant Autorisé (PTRA) pour les ensembles articulés, constitue une infraction grave. La surcharge est sanctionnée par des amendes cumulatives par tranche de dépassement et peut entraîner l'immobilisation du véhicule. La responsabilité pénale du dirigeant peut même être engagée.

Des normes environnementales exigeantes

Pour limiter l'impact écologique du transport routier, l'Union européenne impose des normes d'émissions de plus en plus sévères. La norme actuelle, Euro VI, est la plus exigeante. À partir du 1er octobre 2025, seuls les camions répondant à cette norme pourront circuler avec un poids total de 44 tonnes. Les camions plus anciens (Euro V) seront limités à 40 tonnes. Ces mesures incitent au renouvellement des flottes et à l'adoption de véhicules moins polluants. Les restrictions d'accès aux Zones à Faibles Émissions (ZFE), qui se déploient dans plus de 40 agglomérations françaises, renforcent cette tendance. Depuis janvier 2025, les véhicules Crit'Air 3 et inférieurs y sont souvent interdits, avec des plages horaires restrictives (généralement 8h-20h) pour les poids lourds.

Des équipements de sécurité obligatoires et renforcés

La technologie joue un rôle croissant dans la sécurité des poids lourds. Plusieurs équipements sont devenus obligatoires pour prévenir les accidents :

  • Le chronotachygraphe : Cet appareil enregistre les temps de conduite, de pause et de repos du conducteur. Dès août 2025, les nouveaux véhicules devront être équipés de tachygraphes intelligents de 2ème génération, qui enregistreront automatiquement les passages de frontières et permettront des contrôles à distance.
  • La signalisation des angles morts : Des autocollants spécifiques sont obligatoires sur les côtés et à l'arrière du véhicule.
  • Les systèmes d'assistance à la conduite (ADAS) : Depuis juillet 2024, les nouveaux poids lourds doivent intégrer plus de 30 équipements de sécurité, comme le détecteur de somnolence, l'avertisseur de dépassement de vitesse, le système de détection des piétons et cyclistes, ou encore un éthylomètre anti-démarrage.

L'entretien régulier est également une obligation. Un contrôle technique annuel est obligatoire, et chaque camion doit posséder un carnet d'entretien à jour. Ces mesures, bien que coûteuses pour les entreprises, garantissent un transport plus sûr pour les conducteurs, les marchandises et les autres usagers.

La gestion du chargement : une responsabilité partagée

Un chargement mal arrimé ou en surcharge représente un danger majeur sur la route. La réglementation est donc très claire sur ce point : la sécurisation des marchandises est une obligation non négociable.

L'arrimage doit être effectué avec des équipements adaptés (sangles, barres, cales, filets) pour empêcher tout mouvement de la marchandise. Un chargement qui bouge peut déséquilibrer le véhicule, provoquer une sortie de route ou endommager la cargaison. Bien que le conducteur soit le principal responsable de la vérification de l'arrimage, la responsabilité du chargeur peut également être engagée s'il a fourni des informations erronées sur le poids ou la nature des marchandises.

Le cas particulier des marchandises dangereuses (ADR)

Le transport de matières dangereuses est encadré par l'ADR (Accord européen relatif au transport international des marchandises Dangereuses par Route). Cet accord impose des règles strictes pour prévenir les risques pour la santé et l'environnement.

  • Formation des conducteurs : Une formation ADR spécifique est obligatoire et doit être renouvelée tous les cinq ans.
  • Équipement du véhicule : Le camion doit posséder un certificat d'agrément ADR, garantissant sa conformité (résistance des citernes, équipements de protection, signalisation orange).
  • Conditionnement et étiquetage : Les colis doivent être correctement emballés et étiquetés selon la nature du danger.
  • Déclaration : Depuis janvier 2025, tout incident impliquant des marchandises dangereuses doit faire l'objet d'une télé-déclaration obligatoire.

Le non-respect de la réglementation ADR peut entraîner des amendes très lourdes, l'immobilisation du véhicule et des sanctions pénales.

Le respect des temps de conduite et de repos

La fatigue est l'une des principales causes d'accidents impliquant des poids lourds. La Réglementation Sociale Européenne (RSE) fixe des limites strictes aux temps de conduite et impose des périodes de repos obligatoires pour garantir la sécurité et préserver la santé des conducteurs. Ces règles sont contrôlées via le chronotachygraphe.

RègleDurée maximale / minimalePrécisions
Temps de conduite continue4h30
Pause obligatoire45 minutesPeut être fractionnée en 15 min puis 30 min
Temps de conduite journalier9 heuresExtensible à 10 heures, 2 fois par semaine
Temps de conduite hebdomadaire56 heures
Temps de conduite bi-hebdomadaire90 heuresSur deux semaines consécutives
Repos journalier11 heures consécutivesPeut être réduit à 9 heures, 3 fois par semaine
Repos hebdomadaire45 heures consécutivesPeut être réduit, avec obligation de récupérer les heures

Une planification rigoureuse des tournées est indispensable pour respecter cette réglementation. Un transporteur fiable intègre ces contraintes dans ses délais de livraison pour éviter toute pression sur ses conducteurs et garantir une arrivée à destination en toute sécurité.

Vitesse, dimensions et règles de circulation spécifiques aux poids lourds

Un chauffeur de poids lourd doit non seulement respecter le Code de la route commun à tous, mais aussi se conformer à des règles spécifiques liées au gabarit et au poids de son véhicule.

Des limitations de vitesse adaptées

La physique est implacable : l'énergie d'un véhicule en mouvement augmente avec le carré de sa vitesse. Un camion de 44 tonnes lancé à 90 km/h développe une force colossale. Pour cette raison, les limitations de vitesse sont plus strictes :

  • Sur autoroute : 90 km/h
  • Sur routes à caractère prioritaire : 80 km/h
  • Sur les autres routes : 80 km/h (sauf indication contraire)
  • En agglomération : 50 km/h

Le respect de ces limitations est essentiel pour maîtriser les distances de freinage, qui sont bien plus longues pour un poids lourd.

Attention aux distances de sécurité

Pour un poids lourd, la distance de sécurité réglementaire est d'au moins 50 mètres avec le véhicule qui le précède hors agglomération. Cette distance doit être augmentée par temps de pluie ou de faible visibilité. Le non-respect de cette règle est une infraction courante et dangereuse.

Des dimensions réglementées

Le Code de la route fixe également des dimensions maximales pour les véhicules circulant sur la voie publique :

  • Largeur maximale : 2,55 mètres (2,60 m pour les véhicules frigorifiques).
  • Longueur maximale : 16,50 mètres pour un véhicule articulé et 18,75 mètres pour un train routier (porte-voitures).
  • Hauteur maximale : Non limitée par le code, mais par la hauteur des infrastructures (ponts, tunnels). Le conducteur est responsable de vérifier la compatibilité de son itinéraire avec la hauteur de son véhicule.

Les interdictions de circulation et l'accès aux villes

Pour fluidifier le trafic et limiter les nuisances sonores et environnementales, la circulation des poids lourds de plus de 7,5 tonnes est interdite sur l'ensemble du réseau routier français à certaines périodes :

  • Chaque week-end : du samedi 22h au dimanche 22h.
  • Les veilles de jours fériés : de 22h jusqu'à 22h le jour férié.

Des interdictions saisonnières s'ajoutent pendant les périodes de grands départs :

  • En hiver : certains samedis de février et mars sur les axes menant aux stations de ski en Auvergne-Rhône-Alpes (de 7h à 18h).
  • En été : certains samedis de juillet et août sur tout le territoire (de 7h à 19h).

Des dérogations existent pour le transport de denrées périssables ou de certaines marchandises spécifiques, mais elles sont strictement encadrées. Ces restrictions doivent être intégrées dans la planification logistique pour éviter les retards.

En somme, être un professionnel du transport routier exige bien plus que de savoir conduire. C'est une activité qui demande une connaissance pointue et une application rigoureuse d'un ensemble de règles complexes. Ces réglementations, loin d'être de simples obstacles, sont les garants de la sécurité, de la fiabilité et de la pérennité du secteur. Une entreprise qui les respecte scrupuleusement ne fait pas que se conformer à la loi : elle protège ses collaborateurs, préserve l'intégrité des marchandises confiées et offre à ses clients la sérénité d'une chaîne logistique maîtrisée et sans surprises.

FAQ

Quelles sont les sanctions en cas de non-respect du Code de la route pour un professionnel ?

Les sanctions varient selon la gravité de l'infraction mais sont souvent plus sévères pour les professionnels. Elles peuvent inclure :Des amendes forfaitaires, pouvant atteindre plusieurs milliers d'euros pour des infractions graves comme une surcharge importante ou le non-respect de la réglementation ADR.L'immobilisation du véhiculejusqu'à la mise en conformité (par exemple, déchargement du surplus en cas de surcharge).La perte de pointssur le permis de conduire du chauffeur, pouvant mener à sa suspension ou son annulation.Des sanctions administrativespour l'entreprise, comme la perte temporaire ou définitive de l'honorabilité professionnelle, ce qui signifie l'interdiction d'exercer.Des sanctions pénales(peines de prison) dans les cas les plus graves, notamment en cas d'accident corporel ou de mise en danger délibérée de la vie d'autrui. La responsabilité du conducteur, mais aussi celle du chef d'entreprise, peut être engagée.

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