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La règle d'or de l'Épreuve Théorique Générale (ETG), plus communément appelée l'examen du code, est simple et n'a pas changé. Pour réussir, vous devez obtenir un score minimum de 35 bonnes réponses sur un total de 40 questions. Cela signifie que le nombre de fautes maximum autorisées est de 5. Si vous commettez 5 erreurs ou moins, vous décrochez votre code. En revanche, à partir de la 6ème erreur, l'examen est considéré comme un échec et vous devrez le repasser.
Cette règle est en vigueur depuis des décennies et reste la norme pour l'examen du code de la route en 2025. L'épreuve se déroule sur une tablette dans un centre d'examen agréé, comme La Poste ou SGS ObjectifCode. Elle est composée de 40 questions à choix multiples (QCM) qui balayent l'ensemble des connaissances nécessaires à un futur conducteur. Vous disposez de 20 secondes pour répondre à chaque question après la fin de sa lecture, un temps qui demande à la fois concentration et réactivité.
La notation est stricte : chaque question correctement répondue vous rapporte 1 point. Il n'existe pas de demi-point. Si une question exige plusieurs bonnes réponses, vous devez toutes les sélectionner pour que le point vous soit attribué. Une réponse partielle est considérée comme une faute. Cette exigence souligne l'importance de bien lire chaque énoncé et d'analyser attentivement l'image ou la vidéo qui l'accompagne.
Depuis des années, une rumeur tenace circule dans les auto-écoles, sur les forums et les réseaux sociaux : l'examen du code de la route serait sur le point de devenir plus difficile, avec un abaissement du nombre de fautes autorisées de 5 à 3. Cette perspective a de quoi effrayer de nombreux candidats, ajoutant une pression supplémentaire à une épreuve déjà stressante.
Soyons clairs : cette information est totalement fausse. Il s'agit d'un mythe qui refait surface régulièrement, mais qui n'est fondé sur aucun projet de réforme officiel. Le seuil de 5 fautes maximum est maintenu et il n'y a, à ce jour, aucune intention de la part des autorités de le modifier. L'objectif de l'examen est de s'assurer que les futurs conducteurs possèdent des connaissances solides pour garantir la sécurité de tous, sans pour autant créer une barrière insurmontable qui découragerait les candidats.
Si le nombre de fautes n'a pas changé, l'examen a tout de même beaucoup évolué. Les réformes successives, notamment celles de 2016 et 2023, ont modernisé le contenu. Les questions sont devenues plus concrètes, utilisant des visuels de meilleure qualité, des vues aériennes (type drone) et des questions sous format vidéo pour vous immerger dans des situations de conduite réelles. Le vocabulaire a été simplifié et les thématiques ont été réorganisées pour mieux coller aux enjeux actuels de la sécurité routière et de l'écoconduite. L'examen a donc changé, mais pour devenir plus pertinent, pas pour vous piéger avec un seuil de réussite plus exigeant.
Pour aborder l'épreuve sereinement, il est essentiel de savoir à quoi s'attendre. Le déroulement de l'examen théorique est standardisé dans tous les centres agréés. Vous serez accueilli, votre identité sera vérifiée, et on vous attribuera une tablette individuelle ainsi qu'un casque audio pour une concentration optimale. L'épreuve dure environ 30 minutes au total.
Les 40 questions de l'examen sont réparties de manière aléatoire parmi 10 thématiques officielles. Il est crucial de toutes les réviser, car aucune ne doit être négligée.
Loin des diapositives vieillottes, les questions actuelles sont dynamiques. Vous ferez face à :
Chaque question est conçue pour évaluer une compétence précise : observer, analyser, décider et agir en toute sécurité. La clé est de ne pas se précipiter et de prendre le temps d'identifier tous les indices présents dans le visuel et l'énoncé.
Obtenir son code de la route n'est pas une question de chance, mais de préparation. Avec une méthode rigoureuse et les bons outils, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour ne pas dépasser le nombre de fautes autorisées.
La clé du succès réside dans la régularité. Il est plus efficace de réviser 30 minutes chaque jour qu'une seule fois 4 heures par semaine. Alternez entre l'apprentissage des cours théoriques et la pratique avec des séries de tests en conditions d'examen. La plupart des plateformes d'entraînement en ligne proposent un mode "examen blanc" qui simule parfaitement les conditions du jour J (40 questions, temps limité).
Ne vous contentez pas de voir votre score final. Prenez le temps d'analyser chaque erreur. Pourquoi vous êtes-vous trompé ? Est-ce une mauvaise interprétation de l'image, une méconnaissance de la règle ou une simple faute d'inattention ? Comprendre l'origine de vos fautes est le moyen le plus rapide de progresser. De nombreux outils proposent d'ailleurs un mode "Mes erreurs" qui vous permet de refaire les questions sur lesquelles vous avez buté.
Avant même de plonger dans les révisions, la première étape est souvent de trouver la bonne auto-école. C'est là que des plateformes comme la nôtre entrent en jeu. PermiFast vous connecte à un vaste réseau d'établissements partenaires partout en France, simplifiant radicalement le début de votre parcours.
Grâce à notre application mobile, vous pouvez rechercher l'auto-école qui vous convient, vous y inscrire en quelques minutes et transmettre tous vos documents de manière dématérialisée. Fini les allers-retours et la paperasse ! Votre auto-école partenaire s'occupe même des démarches administratives, comme l'obtention de votre indispensable numéro NEPH. Vous gagnez un temps précieux que vous pouvez consacrer à ce qui compte vraiment : vos révisions. La messagerie intégrée vous permet de rester en contact direct avec votre formateur pour toute question, créant un environnement d'apprentissage fluide et efficace.
La veille de l'examen, évitez les révisions intensives de dernière minute. Faites confiance à votre préparation, détendez-vous et assurez-vous de passer une bonne nuit de sommeil. Le jour J, arrivez en avance au centre d'examen pour éviter tout stress inutile. Une fois devant votre tablette :
Recevoir un résultat défavorable est décevant, mais cela arrive à de nombreux candidats et ne doit surtout pas vous décourager. Considérez cet échec non pas comme une fin en soi, mais comme une étape dans votre apprentissage. Le plus important est de comprendre pourquoi vous n'avez pas atteint le seuil des 35 bonnes réponses.
Lorsque vous recevez vos résultats par e-mail, généralement quelques minutes à quelques heures après l'épreuve, vous aurez le détail du nombre de fautes commises par thématique. Cette analyse est une mine d'or ! Elle vous indique précisément vos points faibles. Reprenez vos révisions en vous concentrant sur les thèmes où votre score a été le plus bas.
Il n'y a pas de délai d'attente imposé pour repasser l'épreuve du code. Vous pouvez vous réinscrire dès que vous le souhaitez, mais il est sage de prendre quelques jours, voire une semaine ou deux, pour consolider vos connaissances. Grâce à la messagerie intégrée de notre application, vous pouvez facilement discuter avec votre auto-école pour planifier des sessions de révision ciblées ou obtenir des conseils pour surmonter vos difficultés. Un échec n'est qu'un obstacle temporaire sur la route vers le permis de conduire.
Au-delà des révisions, quelques aspects administratifs sont à connaître pour un parcours sans accroc.
Pour vous inscrire à l'examen, vous devez posséder un numéro NEPH (Numéro d'Enregistrement Préfectoral Harmonisé). C'est votre identifiant unique en tant que candidat au permis. Comme mentionné, en vous inscrivant via une auto-école partenaire sur PermiFast, cette démarche est entièrement prise en charge. Le prix de la présentation à l'examen est réglementé et fixé à 30 € TTC, que vous passiez par une auto-école ou en candidat libre.
Une fois que vous avez réussi l'épreuve, votre code est valable pendant une période de 5 ans. Cette durée de validité vous laisse le temps de suivre votre formation pratique et de vous présenter jusqu'à 5 fois à l'épreuve de conduite. Si vous ne parvenez pas à obtenir le permis de conduire dans ce délai, vous devrez malheureusement repasser l'épreuve théorique.
En résumé, la règle est claire : vous avez droit à 5 fautes, et pas une de plus, pour réussir votre code de la route. La fameuse barre des 3 fautes n'est qu'un mythe persistant. Le succès à cet examen ne tient pas à une réforme imaginaire, mais à une préparation sérieuse, régulière et intelligente. En comprenant la logique des règles, en vous entraînant sur des plateformes modernes et en simplifiant vos démarches administratives grâce à des solutions comme PermiFast, vous mettez toutes les chances de votre côté. Abordez cette étape avec confiance : la route vers le permis est ouverte !







